Toi comme hier
RÉSUMÉ
« À l’épicerie, quand je mets une pinte de lait ou une douzaine d’œufs dans le panier et que je constate que leur date de péremption est ultérieure à la tienne, des pensées démentes m’envahissent. Quand tu seras mort, ce seront encore ces œufs que je mangerai et ce lait que je mettrai dans mon café. »
Entre les besoins grandissants de son amoureux malade et la course effrénée aux dernières fois, Marianne voit son quotidien lui glisser entre les doigts. Elle réalise vite que son deuil sera pluriel, se démultipliant en une série d’adieux à des futurs avortés. Si le rendez-vous d’aide médicale à mourir fixe le point de non-retour pour Simon, Marianne, elle, se voit condamnée à exister sans lui, sans eux, en zone dévastée.
Après avoir narré dans son premier récit le début fulgurant de leur relation et le choc du diagnostic, Marianne Marquis-Gravel raconte ici la maladie et la mort, mais aussi ce qui renaît dans leur sillon.
ON EN PARLE
À la fois d’une puissante beauté et d’une infinie tristesse…
Alexandra Mignault, Les Libraires
C’est fort, lumineux, émouvant.
Simon Boulerice, Il restera toujours la culture
On est pris constamment par l’émotion. Un récit lumineux.
Chrystine Brouillet, Il restera toujours la culture
Toi comme hier, le deuxième livre de l’auteure,
détaille les premières fois de Marianne sans Simon,
même celles qu’elle appréhendait de son vivant.
C’est précis, direct et honnête.
Chantal Guy, La Presse
Après le diagnostic fatal de Simon, Marianne Marquis-Gravel raconte
les derniers mois partagés avec lui. Toi comme hier capture la beauté des instants quotidiens,
le pouvoir apaisant de la littérature et la complexité du deuil.
Émouvant, tonique et poétique, ce récit nous aide à apprivoiser la mort tout en célébrant la vie.
Chrystine Brouillet, Salut Bonjour
EN ENTREVUE
Les Libraires
La Presse

